La lune

Ce que j'ai fait en Francais cet apres midi : La consigne : Deux stophes de quatre vers en alexandrinset qui riment bien sur... Qu'est ce que vous en pensez ?


La lune

Elle est là dans le ciel, entourée des étoiles
Comme une grande araignée, elle tisse sa toile
Légère comme une plume magique, c’est la lune
Blanche comme la jolie neige, c’est la lune.

La merveilleuse lune nous cache encore des choses
Elle hume mille senteurs parmi elle la rose.
Les nuages pleurent parfois de ne plus la voir
Mais elle revient dans toute sa splendeur le soir.

Ben, ce n'est pas super mais c'est assez bien.

Je suis du même avis que Miss: c'est bien mais....
C'est assez court et j'ai trouvé ca fade,manque d'émotion(cet avis n'engage que moi)!

bah oui c'est court mais à la base c'est un devoir de français, et c'etait imposé le nombre de vers... bon bah moi je dis rien paske vous vous pouvez dire tout ce que vous voulez, mais moi si je dis un truc méchant elle va me taper la tite

Encore du travail au niveau des vers un peu boiteux et des césures mal placées (ou pas placées du tout d'ailleurs ) mais rien à redire au niveau de l'imaginaire... Les métaphores sont très jolies!

Salutation à tous,



Je n’ai pu m’empêcher de participer à ce cours de français. Je ne sais pas si je suis dans le bon tempo de la leçon enseignée, mais je me suis bien amusé à écrire ses lignes. C’est intéressant de partager le même sujet, ne trouvez vous pas ?
Le poème de Alya ma inspiré, même si le sujet principale se répète. Je pense qu’il ne faut pas trop prononcer le nom de celui qui est le thème du poème. Nous parlons de la lune, le titre est là pour le rappeler, une strophe suffit à le cité. Après il faut décrire ce pour quoi il existe. Parfois il faut même savoir se perdre dans une description ambiguë, car le poème est un passage entre la réalité et le rêve.
Voila, j’espère ne pas avoir pris trop de ligne pour donner un avis, je vous souhaite une bonne inspiration.



La lune





La lumière éternelle jaillie de cette lune
Mon rêve se berce comme si il n’y en avait qu’une
Perçant de sa superbe blancheur la fine terre brune
Sans aucun scrupule, il n’y a pas de lacune

Perdue le long de cette vague je décris ce drame
Les blancs rayons s’installent et d’un trait nous charmes
Sa douce voie éternelle est son seul fait d’arme
Elle s’éteint et ne revient qu’au rythme des larmes





Artemis Vi De Jalon
19/02/2005