les hommes n'ont trouvé aucun remède au malheur et il les frappe tous les jours. par contre sous quelle banderole se cacherait le malin qui prétendrait que les siens ont le plus souffert. Cependant ce qui blesse c'est que sous le prétexte d'une quelconque appartenance certains souffrent plus que d'autres. et cette blessure s'autonourri en même temps que ceux qui souffrent se regrouppent contre les oppresseurs. En ce sens n'ayant que peu souffert et me contentant de mon sort je clame haut et fort, et j'entend que tout le monde me rejoigne, que l'injustice régne et qu'aujourd'hui à toute échelle certains souffrent plus que d'autres. pour cette même raison je dis que vils sont ceux qui comme moi souffrent peu des héritages de la vie (et meme souvent encore moins) et qui pourtant refusent d'entendre le cri des misèreux, tentent vainement de leurs assèner des raisonnements défaillants pour justifier leur domination, allant jusqu'à pactiser entre privilègiés pour s'assurer du succés de leur mensonge. Je défends ceux que les masses rejettent, et ma position est aisée car je n'aurais jamais tort de les défendre, tout simplement parcequ'ils sont la proie des passions de la masse dominante. Aujourd'hui en france les maghrébins, et plus généralement tous les africains, s'insurgent, de façon parfois illogiques, contre le poids d'un système ( dans un sens conceptuel de méchanisme indétournable) raciste qui est innadmissible dans une démocratie. et je ne préfère pas m'en réfèrer aux faits car je sais que partout dans le monde, et meme dans les pays dits démocratiques, des choses bien pires sont permises. et je sais combien de populations, essentiellement du Sud, souffrent le martyre. Mais cette domination tient lieu partout dans notre monde à toute échelle et elle concerne chacune de nos relations. Il me faudra, pour vous en convaincre faire bien plus de lignes j'en ai peur... ( c'est un peu pour ça que j'aime bien les drogués, les prostituées, les judokas-ah bein nan eux ils ont déja david douillet pour s'occuper d'eux- les allemands et robert.)