Salutation à tous,
En ces temps là, je m'efforce de rire, je m’exalte en laissant mon ventre rythmer le battement des sons de ma bouche. En fait, c’est très difficile de décrire le rire, en bande dessiner, cela se traduit par une bulle remplis de « ahahah ! ». Alors que dans les romans, ceci est seulement narré d’une manière succincte : « il rigola franchement », ou « son rire était sincère et puissant » etc.
Le rire est autre chose que des mots ou des onomatopées, il vient du plus profond de notre être. Ce dernier est plus complexe que son opposé, la tristesse, qui malgré tout reste profonde. Celle-ci est commune à tous, car sa cause est plus facile à créer, tout comme le rire est plus ardu à insuffler aux autres. Je suis très mauvais pour cette dernière chose alors que je pourrais rendre triste tout mon quartier. Mais comme accabler autrui ne sert à rien, je me consacre à des pitreries pour me rendre utile. Le sourire aide le monde à progresser n’est ce pas ?
D’ailleurs, à la télévision, malgré le fait que je ne la regarde pas énormément, j’ai remarqué que beaucoup de gens s’efforçaient de rire. N’est ce pas une action artificielle ? J’ai pensé alors que cet effort partait du sentiment de vouloir rigoler à ce qu’ils auraient aimés voir ou entendre à ce moment là.
Donc, en fin de compte, les gens s’auto amusent, et ainsi restent en accord avec la bonne continuité des évènements à suivre.
Ainsi s’achève mon monologue, la pensée est un défilé où nos rires paradent pour la rendre plus intéressante…
Artemis Vi De Jalon, qui projette sincèrement une étude sur l’écriture…………..
Ps : A la base, ceci était une réponse à skid, mais je me suis égaré, désolé, une autre fois je te répondrais, promis !