Quoi ? qu’est ce ? un insecte explorateur ? dans la niche du chien ricanant ? Lui attend dehors en savourant son poignard par petites gorgées. Successivement mes os craquent devant ce spectacle. J’en profite pour étaler mes connaissances sur la tarentule celle ci se débat et hurle un requiem étrange, rauque, semblable au goût de l’écorce de noix, et aux zeste de citron, mes yeux se trompent et aperçoivent une aubaine flottante. Je vis sur une île, une île étanche au tsunami, une pile de livre. et des tarentules, j’en renvoie paître tous les dimanche, alors à choisir entre un pull et une veste en daim je choisis le tulle, car la dentelle s’imprègne en moi comme le goût strabicisant du melon. Quand je sers le punch mes invités pleurent où ne pleurent pas, et il en est de même quand je vais chez des hôtes, à la différence prés que chez moi les gouttes tombent en abondance, une sorte de micro climat, auquel participent les quelques parricides qui se nichent dans mon lit pendant que je n’y suis pas. guettant la nuit pour sortir à l’abris des sourires hypocrites des poucavs comme on dit des balance des citoyens appliquant la loi, des psychopathes respectant la folie comme ce saint esprit et ce religieux, tous deux parricides, qui copulent dans mon lit pendant que je n’y suis pas. Ecoute ! ce que j’ai à te dire… nan, nan !! tu ne me suis pas ! je veux dire… je n’ai rien à te dire. oui voilà c’est cela. Mais, écoute ! ce que je te dis… voilà ! tu m’entend ? n’est ce pas ? et bien personne ne le dit… je veux dire… personne ne le dis comme toi.
non mais vous avez vu l'heure? vous vous attendiez à quoi? ;p
(rah sur un coup de tête je remplace le "moi" final par un "toi" ça met encore plus de portée (et de populisme ^^)