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 le chêne plie puis craque

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Skid
Plume déliée
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Skid


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MessageSujet: le chêne plie puis craque   le chêne plie puis craque EmptySam 11 Juin à 4:39

tout commence par la citation initiale, extraite de l'émission pitoyable "y a que la vérité qui compte", aprés les choses se sont greffées, pour une fois je pense pouvoir continuer. on verra






"A comme amour, N comme nouveau, P comme possible, E comme ensemble." disait la télévision, avant que j'aille à l'anpe. C'est simple ce matin ma mère m'a demandé de tes nouvelles, alors qu'elle le sait que c'est fini. Mon cousin me demande comment tu vas. le fleuriste me donne une rose pour toi, et la télé elle dit des absurdités à ton sujet. et moi je suis le pauvre viticulteur ivrogne qui transforme tout ce bon raisin en vin et qui le boit pour calmer sa soif. J'ai mal au ventre, avec ce que je bouffe, j'ai mal au poumon, avec ce que je fume, j'ai mal à la tête avec ce que je glande. Il me faut un peu de chance quelque chose qui me propulse, qui me donne un petit but dans la vie, ou même un grand, je l'accepte.Ou tout simplement toi. j'y pense tout le temps, à toi et à tes yeux gris, surtout lorsqu'ils m'en voulaient. J'ai cette image de toi qui m'en veut et elle me hante, elle passe en boucle et à chaque fois, dans la rue ou sous la douche, je trésaille sans qu'on s'en aperçoive. en ce moment je cours poursuivi par une horde d'archer gobelin bavant, que je me représente en pensée. l'incapacité de parler leur langue, voilà ce qui me fait peur. Je ne peux pas leur demander pardon.. les gens voient débouler une ombre brune, vêtue d'un jean et d'un pull, accroché à sa saccoche, qui balaye discrètement du regard toute la rue. Je ne m'y sens pas à l'aise, surtout depuis ce truc. Je me rends compte que les gens se sentent protègés dans leur ville, tous ils sourient gaiement et même aux policiers. Ils ne savent pas que nous sommes tous fichés. Que tout le monde, sans exeption pourrait finir en prison, pour une chose qu'il a fait. A part les riches, qui est ce qui échape à la prison. un canari rabougri passe. J'irais bien à l'anpe, je suis devant l'anpe, je hais l'anpe, je vais m'acheter une lampe. voilà je vais faire ça. de toute façon les hôtesses à l'anpe sont désagréable au possible, je repasserais à un moment plus oportun. je vais aller penser à toi dans un endroit paisible avec ce qui me reste. J'arrive aux Parc thiers, un joli parc, ou on oublierait presque la ville autour, avec quelques calmants. Je me pose, et je pense à toi. Il faut que je vous le dise. Vous, vous n'iriez jamais penser à quelqu'un comme ça, si? si vous le faites je vous respecte. moi je vais le faire en fumant. disons qu'aprés je me crée une bulle de sacralité qui se rempli d'ondes positives, oulah je les bouffe toutes en une seconde, c'est du concentré d'ondes positives.et bien là, la bulle à été perforée... une chose affreuse, un sentiment d'asservissement mélangé à l'injustice, une peur remplie de colère. ma bulle implose puis s'éparpille dans l'univers. "contrôle d'identité". j'avais au préalable camoufflé la dite cigarrette sous ma chaussure pour tenter ma chance, apparemment il se doutaient de quelque chose puisqu'ils venaient me voir. Je montre ma carte d'identité en évitant de bouger le pied. Ils me demandent si je n'ai pas de produit dangereux ou illicites sur moi. J'ai voulu être franc, j'ai répondu non. et voilà tout, ils sont partis et moi aussi. Mécontent d'avoir subi un tel acharnement je mastiquais des mots biens laids tels que "bandoulière" ou "minorité", ils me donnaient une salive violette et toxique, du moins c'est ce que je me figurais parfois. Tu connais "le bristol"? c'est mon bar, mon point de raliement, une sorte de guerre perpetuelle, un endroit où je vais quand je n'ai rien à faire et que je pense trop à toi, et bien là bas il m'arrive même de penser à d'autres filles, tu imagines en moins d'une semaine, je pense déjà à quelqu'un d'autre. Mais pour ça il me faut de l'argent, de l'argent qui me permet d'acheter de l'alcool afin de me déshiniber, et parfois elle aussi, enfin tu vois ce que je veux dire. Toi, nue, tu es une statue de marbre, et je nous voudrais congelés dans la glace l'un à côté de l'autre pour que nous nous réveillions plus tard, quand il n'y aurait plus personne. Je t'ai dis comment j'imaginais le monde avec seulement nous deux? j'ai du te le dire, car tout le monde se dit ce genre de foutaise. Toi ou une autre? sans toi quoi? avec toi... quoi? tant de questions! quand je vis, je les oublies même. Il faut que je passe chez Paul, je vais lui dire pour les flics. sur le chemin je croise les vendeurs de magic du metro Jussieu, ils me font peur, avec leurs têtes de médiévaux, ces types sont bien plus fous que moi ils vendent des cartes à tout moment de la journée, par roulement, je les soupçonne d'être des immigrés clandestins polonais, mais j'irais jamais dénoncer ça. Et puis pourquoi j'irais dire ça, ce ne sont que supositions.
En un bon bout de temps je suis chez Paulo. pour trouver son appartement il faut traverser un labyrinthe de cages d'escaliers, enjamber des corniches et gravir des sommets. puis on arrive dans une cour intérieur, bien ensoleillé, presque style marocain, avec des plantes vertes arrosées. ça fait un microcosme reposant, d'ailleurs ils font souvent des repas d'immeuble, encore que ce genre de truc m'ennuie, ce n'est qu'une bonne façon de se faire chier. Devant la porte gravée de Paul je m'arrête un instant. Je m'apprête à frapper mais quelqu'un sort au même moment: une jeune fille, qui ne te ressemble pas du tout, une brune, une assassine, de noir vêtue. Je lui ai témoigné un de ces dédains! je me trouve presque méchant: elle m'a dit "tu viens voir paul" et j'ai répondu un "oui" cassant, en regardant à côté. Cette fille doit recevoir bien trop d'attention pour mériter la mienne, je la hais rien que pour ça. Et si ce n'était qu'une pauvre fille, une trainée, une désabusée? Peu importe, C'est ça la jungle urbaine, au fond j'ai même du la réconforter. Ce genre de fille est trop craintive pour accepter qu'un sourrir puisse être gratuit. Mais tout de même cette question absurde. Biensure que je viens chez paul, d'ailleurs j'en oublierai presque qu'il me tend la main à présent en me disant "bonjour" avec un sourrir accueillant.
" tu as du voir sarah." ajouta-t-il en gardant le sourrir. j'étais gêné. je me demandais ce qu'il fallait répondre alors que c'était trés simple. "euh... oui". "C'est la voisine elle est trés intérressante, je viens de la rencontrer et elle m'a déjà parlé de Wax the nip, tu imagines? sans que je la lance sur le sujet, nous étions juste en train d'écouter du billy crawford." " en effet c'est trés exitant". "Tu veux un snickers glacé, je t'en ai réservé un. avec le monde qui passe ici, je suis bien obligé de faire des favoris pas vrai?" Paul était... comme qui dirait urbain, et j'étais content que son urbanisme se tourne vers moi. "je veux bien mais,il me faut une lampe, à tout prix.
-pour en faire quoi, il était subjugué.
-je.. je ne sais pas. Pourquoi une lampe, aucune idée. non, laisse tomber je divague.
-à ce point?"
je m'asseillais sur le fauteuil pendant qu'il allait chercher un ice-cream, je pensais à l'ice cream, au bonheur qu'il me procurrerait, au bonheur que ça me procurrerait que tu sois là et je me mordais les doigts, à grandes gorgées. "Putain! Paul. Je me sens pas bien en ce moment." Il avait pas entendu de la cuisine, ou juste à moitié. j'hésitais. "nan je disais juste que je me sentais pas trop bien en ce moment". Il me donna l'ice cream. "qu'est-ce qui t'ennuies, alice? encore? tu avais décidé d'arrêter". "bah je sais plus. ça doit être tout. ici j'ai l'impression d'être mieu mais dés que je suis dehors... je supporte plus de marcher dans la rue, je la vois, je vois l'anpe. chez moi c'est pire. je sais pas quoi faire, ils me proposent d'être à l'usine, je vais me coincer la tête dans une machine avec mes absences, et mes retards." le pauvre je l'assome. " bah, ne fait rien. tout le problème chez toi c'est que tu veux faire des tas de choses, mais que tu refuse de faire ce qu'il faut pour y arriver. Accepte-le tu vivras mieux. Moi j'irais en enfer, je ne me soucie même pas de ma conscience. tu imagines je vais en boîte parfois, je parles avec des filles et le pire c'est que je sers la main des gens avec qui je travaille. Nan toi tu n'es pas fait pour ça. Mais tu es bêtes" c'est moi qui étais assomé j'avais fini mon ice-cream, et je ressentais une double frustration (en plus de celles qui étaient en veille).
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Antigone
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MessageSujet: Re: le chêne plie puis craque   le chêne plie puis craque EmptySam 11 Juin à 22:29

C'est complètement dans la veine moderniste... Le stream-of-consciousness, ou flux de conscience (mon dieu que la traduction est mal faite mais bon passons), avec notamment des écrivains comme Virginia Woolf. Ce principe de suivre les pensées du narrateur plutôt que l'action précise, de ne pas se baser sur une linéarité exigeante et de se laisser porter par l'esprit qui ne lie pas nécessairement les pensées entre elles...

Je suis plutôt étonnée de trouver une telle sensibilité dans ce texte, comme quoi je ne suis pas prête de t'avoir cerné, et c'est tant mieux. C'est formidablement bien traité, cet extrait de vie me plaît par ses mots, sa forme, son expression...

Franchement, chapeau bas.
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Skid
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MessageSujet: Re: le chêne plie puis craque   le chêne plie puis craque EmptyMer 15 Juin à 23:54

il y eut un silence car paul n'avait pas fini sa glace, et je pus entendre la pluie se faufiler par petites gouttes dans les rues sombres de la ville. Il était 7 heures, l'heure où l'on rentre chez soi, depuis longtemps maintenant je ne rentrais plus chez moi à 7 heures, où peut être n'y étais-je même jamais rentré à cette heure-ci, je ne m'en souviens plus. J'ai le souvenir que petit, je rentrais chez moi le soir en hiver et qu'il faisait à peine jour. Que je m'asseillais sur le fauteuil en attendant mon chat . il était quelqu'un pour moi ce chat, je ne sais plus lequel, tous ceux que j'ai eu me laissent la même impression, un peu comme toi. sauf que toi tu ne te reproduis pas dans le temps.
"je pensais que tu pourrais rester, j'ai un repas d'immeuble ce soir, on fête l'annivesaire d'henrick le gars de hambourg, il y aura plein de bière et sarah, même si pour toi il n'y aura que la bière."
Paul me coupait de mes songes avec une telle pertinence. "euh.. c'est à dire... non je préfère rentrer chez moi." "ne me mens pas, si je te lache à cette heure-ci tu vas partir te ballader sous la pluie à la recherche d'une fille à violer." "puisque tu te gardes sarah je ne vois pas ce qu'il y a d'autre à faire." " et bien il y a toujours ses collocatrices, si tu omets jean qui est prise. et puis,honnêtement madame Soulier à besoin d'un amant. son mari est toujours au quattre coin du globe et du corps des femmes." "non je t'assures je ne suis pas d'humeur, tu sais ce que c'est. je vais peut-être passer au bristol" je n'aurais jamais du le dire. "écoute je t'appelle si on sort aprés et on se rejoindra." "Voilà je préfère comme ça, je ne pourrai pas supporter le regard d'une table entière." "bon avant de partir, je te propose que nous nous fassions une petit écoute, je me suis acheté quelques albums aujourd'hui et notamment echretau de Tri repetae, une cascade de perturbations électroniques, il paraît que les sons sont testés sur des animaux pour leur capacité à exiter certains de nos organes, qu'il sont délicatement choisis et que leur structuration est élaborée à l'aide de calculs algèbriques. envoie moi le cd il est dans la poche à côté de toi." j'ouvrais la poche, plus enjolé qu'à mon habitude, et je cherchais le cd "celui avec une pochette reflechissante" je le prenais pour regarder. c'était moi dessus, ma tête je veux dire en train de me regarder, avec des traits bizarres, trés amaigrie, et ridée. j'étais hypnotisé. "attends que je le mette pour entrer en extase" il le pris et alla l'insèrer, tout en sortant de sa poche une boulette qu'il m'envoya "pour rouler". il était trés généreux, c'en était presque agaçant, ça lui donnait une odeur de rose, mais je sais que s'il faisait ça c'est parce qu'il savait qu'il avait plus de moyen que moi, et qu'il n'attendais en échange qu'une amitié sincère. je me mettais à l'oeuvre en souriant comme un de ces enfants que nous sommes lorsque nous nous adonnons à cela, ou a bien d'autres choses. "voila" la musique avait pénètré la salle avec un son acide, comme un néon qui implose, puis les bruits industriels s'étaient succèdés imposant un rythme convulsif, j'entrais dans une cathédrale de débris métalliques. pour le moment tout cela etait encore translucide, juste une spectre mais bientôt j'allais le palper de mes mains. nous ne disions rien, contemplatif, et petit à petit les mollécules faisaient effet, se posaient dans les réceptacles altéraient nos perceptions, pas pour la persitance de nôtre concentration, au contraire pour améliorer notre capacité à nous mouvoir dans cette jungle imaginaire, d'une cible à l'autre, là où beaucoup de gens n'entendraient qu'un bruit dérangeant. j'étais plein d'ondes positives, quand j'étais dans un autre monde, ça me permettait de me justifier qu'il y ait ce monde dans lequel nous vivons, que si les mondes s'encastraient, c'est qu'il y avait au moins un mécanisme derrière tout ça. Car quand je regarde la ville, j'ai le sentiment malsain de devenir aveugle, les phares des voitures, les ombres des gens des immeubles, les lumières roses des bordels, la pluie et la saleté se mélangent et tout devient noir, les sons, ils deviennent de plus en plus aigus et de plus en plus perçants, les claxons et les cris, les fêtes foraines, jusqu'à ce que mes tympans explosent, je balance mes bras dans le vide sans aucun repère. et une goutte sort de mon oeil quand mon système vitale reprend le dessus. Beaucoup d'homme ne compte que sur leur système vitale, et leur coeur craque d'un ulcère. Il y a toujours toi pour museler mon energie, mais dans ces moments de contemplation, je laisse s'exprimer mes sens, et que c'est bon. Je ne peux pas m'empêcher d'observer paul pendant ces séances, je n'arrive pas à me sentir totalement libre avec lui à côté. tandis que lui se laisse aller, se lève dans la salle et fait des gestes saccadés, moi je reste les yeux fermés et je les entrouvre parfois. Quand rien ne se dit dés la première écoute c'est que l'album restera, et celui là m'a l'air bien parti pour décrocher un CDI, combien se sont brisés sur le macadam brûlant de la rue d'à coté avant même d'avoir été écouté.
"caramba!dit il avec un accent mexicain. et dire qu'il attendait sagement dans les bacs depuis plus de 10 ans! comme les gens sont gentils! et comme les vis sont viciées! qu'en est-il des boulons dans ce cas? et les bourdons? les deux sont innofensifs. tandis ,qu'entre mes cuisses, glisse un joli serpent venimeux et corrosif. mes propos, allusifs. n'y fais pas attention, il se posent sans prétention sur le son. pas question de t'explorer, juste d'agir sur toi sans pouvoir prévoir tes réactions, le tout est de voir pour savoir quel suffixe ajouter..." je n'ai pas pu tout noter il manquait des choses, de toute façon la plupart du temps ce n'étaient que de la diarée verbale. il répètait ses paroles les yeux fermés il devait les avoir apprises pour qu'elles coulent avec une telle limpidité, mais le mystère résidait dans le fait qu'elle se collaient au morceau. il n'avait jamais tenté sur du funk, je pense que ce ne serait pas passé. je me faufilais vers la sortie, c'était un pacte chhaque fois je devais partir sans qu'il s'en rende compte cette fois ci il était tellement pris que c'était simple, mais je ne voulais pas le retenir. il devait voir ses amis.

(j'ai pas répondu antigone mais merci pour ta remarque, j'ai continué sur "le flux de conscience" ^^ enfin c'était un torrent!! bon je peux continuer longtemps sur cette histoire, même si ce ne sont que simulations (spéculations?). malgré tout je commence à ressentir les limites de la personnalité du narrateur rien que par rapport à celle de paul, à moins que je ne lui trouve un vice qui vienne se caller au creux de ses pomettes souriantes. à méditer ps: je suis en plein bac )
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Lain
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MessageSujet: Re: le chêne plie puis craque   le chêne plie puis craque EmptyJeu 16 Juin à 10:22

Euh... Sans faire de grosse remarque sur le contenu (c'est intéressant mais j'accroche pas trop au style), est-ce que je peux juste te conseiller de sauter des lignes de temps en temps ? Et puis mettre des majuscules, corriger l'ortho, tout ce qu'il faut pour rendre un texte visuellement attirant... C'est vraiment hermétique, là... Shocked Merci Wink
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MessageSujet: Re: le chêne plie puis craque   le chêne plie puis craque EmptyJeu 16 Juin à 11:13

T'en fais pas, Lain... On s'y fait très vite! Wink

Et puis quand on est plongé dans le texte, ou plutôt, dans le monde qu'il décrit (encore un autre monde qui vient s'encastrer), on ne voit plus les mots mais que ce qu'ils désignent. Et alors qu'il y ait un alinéa ou pas, qu'est-ce que ca change à l'histoire?

Par contre pour les majuscules et les fautes d'orthographes, je suis d'accord! What a Face
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MessageSujet: Re: le chêne plie puis craque   le chêne plie puis craque EmptyJeu 16 Juin à 18:52

oui je crois qu'un jour ca méritera un edit au niveau des fautes et du manque de majuscule (mais ne vous en fait pas je me dis ce genre de truc. c'est juste que je suis tout content d'avoir fini d'écrire et donc je poste directe), par contre pour ce qui est des alinéas, j'ai décidé (et je décide souvent) de n'en mettre que trés peu pour ne pas dissèquer le texte, d'ailleurs si par hasard un jour ces lignes se matérialisent sur une feuille de papier, elles n'auront pas à être trop découpées. bon je comprend que sur une page internet les lignes soient longues, mais il doit bien y avoir un moyen de retressir le cadre! nan? rah mais ils font quoi les admins???? ;^p
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MessageSujet: Re: le chêne plie puis craque   le chêne plie puis craque EmptyJeu 16 Juin à 20:10

Bon je suis pas admin, ici mais techniquement c'est faisable.

Par contre, je peux te dire que si le cadre est moins large les phrases seront d'autant plus longues je crois... le chêne plie puis craque Amour55_ (une phrase longue et large, devient un phrase plus longue et moins large quoi... J'explique juste parce que même moi je me sentais pas claire là dessus... le chêne plie puis craque MDR71_gi )

Je dois avouer que j'ai lu le début mais que je peine sans alinéas saut de ligne et majuscules, l'orthographe passe même au second plan c'est vous dire... Mais je vais tout de même tenter de finir la deuxième partie mais va falloir que je raccroche aux branches de mes lunettes. le chêne plie puis craque Ptdr_gif


(et oui Top Secret porte des lunettes ça vous en bouche un coin.. le chêne plie puis craque Jesors_g )
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