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 Une vie en kaléïdoscope

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AuteurMessage
Skid
Plume déliée
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Skid


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Date d'inscription : 26/02/2005

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MessageSujet: Une vie en kaléïdoscope   Une vie en kaléïdoscope EmptyMer 7 Déc à 17:32

j'en ai marre c'est nul. Bouh je le poste quand même au cas ou candle voit une phrase interressante..


Une vie en Kaléïdoscope se niche-t'elle dans les vastes forêts canadiennes? Une fontaine de chocolat coule-t-elle dans les ruines du temple d'Apollon? Un paradis olfatic dans les cous successivement humés d'un troupe de majorette. La profusion dans l'assiete vide et le ciel dans le lac? La lacune dans l'impression de maîtrise. La traîtrise dans l'amitié et la connaissance dans le futur. J'ouvre tous les jours ma porte sur un contrée qui m'est inconnue. Analyse tronquée donc. A chaque coup de caisse claire je voudrais que le monde se gêle dans un contraste éblouissant, qu'à ma guise les bras se lèvent et que les fils des marionnettes soient de plomb. Quand les gens parleront leurs yeux s'entrouvreront et nous laisseront entrevoir la laideur effrayante de leur ancéphale- certe effrayante mais sublime, elle inclinera notre ligne de conduite.
Ce que je vois je ne le fais pas, ce que je fais ne le vois-je pas? alors je ne l'éxécute en aucun cas. Lorsque je rêve que je papillonne avec difficulté, effleurant parfois les têtes, tombant lamentablement, je me vois déja dans les cieux. Pas que la place soit à envier, acquise elle reste insuffisante. Je la qualifierais de mesquine et je trace parfois l'esquisse de mes paroles matérialisées en bloc de marbe à l'approche du sol. C'est un labyrinthe vicieux qu'il nous faut survoler. Combien s'ennorgueillent d'avoir atteint un sommet du haut duquel ils prêchent à qui veut lever la tête. Or la tête se lève puis se baisse aléatoirement avec une niaiserie distraite et ce qui traîne par terre semble toujours la captiver avec plus de force que ces vapeurs augustines.
Planifier l'assaut revient à mastiquer des calories, qui s'inquiète de Guy Carlier. C'est aussi ça la calomnie, comme une pomme sur la tête. Simple objection: dans leur démarche antechristique les botanistes ont survécu à l'érosion du vent combiné aux pluies acides, il n'en reste pas moins que les hommes en se cognant à l'arbre rendent aux racines le titre de receptacle qu'elles méritent. Et c'est peu dire, pour appuyer le son de la lire dont les vibrations chatouillent déjà l'organe reproducteur de ce séquoïa pourtant si chaste. Si chaste ou bien si apte à saisir les évènements en repoussant la routine abrutissante des vitrines parisiennes. Normal pour un provinciale altruiste et donc forcément marxisten, styliste, byzantin et autres onomatopées toutes plus utiles les unes que les autres pour rebondir, allourdis se propulser dans les airs et s'agripper à la terre qui craque, rater et recommencer, penser que la gravité n'est qu'une règle à surpasser y déchaîner de l'esprit pour s'apercevoir que l'illumination commence comme un morceau de cet homme dont le nom sonne dans mes oreilles. Ils te videront, Ils te rempliront, ils te tordront dans tous les sens, ils te pendront pour te voir sec et te jetteront dans l'obscurité affamée. Ce doivent être des inconnus, d'un autre monde, incompréhensibles aussi. Entend leur langage il te rappelle le goût des sucreries que tu volais à ces enfants aux mains sales, qui t'ont coûté ce que tu avais de plus chère pour broyer la vie, tes misérables chicots.
Ne leur en veux pas pleurnichard, je te vois déja guidant ta pitoyable armée de matraqueurs à travers les marécages, à frapper la boue, à se jeter dedans sans gêne, à la boire jusqu'à l'étouffement. Ah ça tu en crèves d'envie parfois. Je te prie, observe la récurrence du soleil et ne tente pas de lui faire prendre du retard le temps que tu fasses tes sales affaires. Il y a de l'eau sur la lune, de l'eau salée comme celle qui coule de l'oeil fermé de ta mère, des bactéries s'y développent qu'elle a emportée avec elle. Honteuses plutôt que de se développer elles stagneront et bientôt formeront une croûte, témoignage de cette nuit agitée, d'une lune habitable, d'une orchidée, d'un trône majestueusement vide. Je m'allonge sur une pierre dans la plaine, je ne laisserai pas ça aux suivants. Je vendrais quelque chose de personnel à la vallée. Les yeux de son nouveau né me voyant partir vers l'autel, me rappelleront à quel point je suis fou et si grand à la fois , par rapport à la foi. Quoi de plus amoureux si ce n'est un regard échangé lorsque les champs de vision se quittent, et d'autres choses du genre que tout le monde rencontre, que tout le monde use et dont on devient vite lassé, forcé de choisir entre résignation et liberté simple question de forme et quelle forme
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