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 Mil et Un Rêves

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Candleinthestorm

Candleinthestorm


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MessageSujet: Mil et Un Rêves   Mil et Un Rêves EmptyVen 19 Nov à 3:48

La poésie est Magie. Aussi chaque recueil qui existe est un Grimoire.

Cependant, j'ai trouvé malheureux que la Magie ne commence qu'au titre du poème, pour déjà s'éteindre avec la dernière rime... De cette manière, chaque moment que l'on passe à tourner la page d'un recueil est un moment vide de Magie. De plus, les recueils tels qu'on les connaît ne semblent ainsi être qu'une juxtaposition de poèmes, une liste parfois hétérogène.

C'est pourquoi j'ai décidé, avec Mil et un rêves, de remplir de Charmes l'ensemble de l'oeuvre, pour que la Magie naisse en haut de la première page, pour mourir en bas de la dernière, et pourquoi pas continuer à briller dans l'esprit du lecteur... Les poèmes semblent alors découler les uns des autres. Cela leur donne une dimension supplémentaire, une raison d'être (mais un poème a-t-il seulement besoin de se justifier...).

Aussi je vous laisse le découvrir de par vous-même...
Bonne lecture,

***

10 décembre

Ce matin, je me suis réveillé avec les souvenirs d’un voyage extraordinaire. En une nuit, je suis allé plus loin qu’un homme puisse aller en une vie ; plus loin que la terre ; plus loin que le vent. Cette nuit, je suis allé ... au Pays des Rêves.
Là règne la Vérité nue. Tout est limpide, et la compréhension est immédiate et absolue. Chaque chose vibre de tout son “être” et chaque sens est affiné.
Je n’y ai rencontré personne, mais j’ai aperçu l’ombre divine d’une nymphe...

- Ô ! silhouette fine, silhouette aux teints frais ;
Ombre si féminine, aux courbes adorées ;
Statuette fétiche, oui, je suis à tes pieds ;
Ô ! silhouette fine, silhouette aux fins traits. -


Pays des Rêves
1) Souvenirs

Je vois dans les prés de jadis
Une silhouette de fée
Se baladant sur les narcisses
Aux longs cheveux blonds dénoués

J'entends dans les prés de naguère
Le chant d'un ruisseau caché
L'harmonique du vent dans l'air
A l'eau douce bonne et glacée

J'hume dans les prés d'autrefois
Le parfum d'une pluie passée
Celui d'un champ de fleurs des bois
La fraîcheur des mousses gonflées

Je goûte dans les prés d'antan
Le goût généreux de ces baies
L'effluve des fruits exhalant
Un arôme riche et sucré

Je sens dans les prairies d'hier
Le frais d'un ruisseau caché
Le souffle du vent dans les airs
Et la chaleur de l'été

***

11 décembre

Malgré mes craintes, et conformément à mes espérances, j’y suis retourné ! Tout était si semblable, mais si différent ! Ce n’est pas descriptible. Seuls ceux qui y sont allés peuvent peut-être comprendre ce dont il est question...
Un évènement encore plus heureux s’est produit : alors que je marchais paisiblement, dans un état de ravissement le plus total, j’ai nettement vu la jeune fille dont je parlais hier. Elle était assise sur la rive d’un frais ruisseau, jambes repliées sur le côté, appuyée sur un bras. Ses cheveux couleur miel ondoyaient dans le vent. Elle semblait attendre quelqu’un. Sans doute m’a-t-elle entendu alors que je m’approchais, car brusquement elle se retourna. Elle m’offrit un regard des plus doux, puis me sourit. Comme je lui souriais aussi, elle s’estompa subitement, se volatilisa, se confondit tout à coup avec la nature environnante...
Comme je la désire...
Je brûle d’être à nouveau cette nuit pour la retrouver.

- Cascade éblouissante de cheveux d'or fin.
Une peau satinée, nacrée, fragile et douce.
Souriante, charnell', charnue, charmante bouche.
Deux délicats saphirs posés sur leur écrin ;

Deux jades, deux pupilles, deux profonds abysses,
Piqués d'astres nocturnes aux reflets de lunes.
Innombrables diamants d'une unique fortune ;
Ces joyaux sont l'objet de mon plus doux caprice. -

***

12 décembre

Comme tout à changé si vite ! Hier encore tout était si verdoyant ; désormais, l’Automne règne là-bas. Ou devrais-je dire là-haut ?

- Le soleil a changé sa parure,
Afin de se confondre
De la blanche verdure,
Afin de ne se fondre
Qu'en les rousses nuances
De l'incendiaire forêt. -

L’étrange jeune femme était là, et nous avons parlé. Ô ! quelle voix magnifique ! qui n’a rien de semblable avec celle d’une mortelle. On dirait ... de la musique...

- Ta bouche est instrument ; ta voix une musique
Aux milles harmonique, enchantante, enchantée.
Ton regard est magique et me fait voyager
Dans des pays d'Afrique, aux soleils bénéfiques. -

Lorsque je lui ai demandé qui elle était, elle m’a répondu, pleine de mystères : «je suis Elle».
Comme j’aimerais plaire à Elle...


Je Te souris

Aux grès de ton regard
Je t’obéis
Pour n’être pas barbare
Je te souris

Pour que tu m’aimes un peu
Je me fais doux
Les couleurs de tes yeux
Me rendent fou

Aux notes de ta voix
Ma raison fuit
Aux notes de ta voix
Ma passion luit

***

13 décembre

Comme nous discutions, j’ai appris qu’Elle ne dormait jamais. Au Pays des Rêves, l’Éternité est la seule mesure du temps, et le sommeil ne signifie rien. Quelle terre étrange ! Et quel dommage ; j’aurais tant aimé la regarder dormir...


Vous regarder dormir

Dans le silence de la nuit,
Comme une ombre se fond au décor,
Je traverserais ces lieux morts
Pour moi m’en aller vers la vie.

Et la vie dort, car c’est la nuit.
Je m’assiérais tout au bord
de votre lit,
Et contemplerais votre corps
endormi.
Haut dans les cieux la lune brille.

Comme un souffle, un rayon de nuit
Caresse votre peau nacrée,
Et de votre féminité
Souligne les courbes jolies.

Votre souffle berce la nuit ;
Oh! j’aime ce visage en paix,
Cheveux épars, yeux fermés.
Là-haut les étoiles scintillent.

Bientôt s’achèvera la nuit.
J’aurais voulu rester encore,
Et contempler votre corps
De Déesse endormie.

C’est la fin de la nuit
Et je suis reparti.

L’étrange impression d’une présence
Vous saisira au réveil,
Comme un vieux souvenir.
Oh! Comme j’aimerais vous regarder dormir...

***

14 décembre

A chaque fois je suis victime de nouveaux émerveillements ! C’est maintenant l’Hiver !

- Une pluie d'étoiles est tombée.
Une couche de glace au sol s'est formée.
Le pâle astre du jour
Est dépouillé de ses plus beaux atours.
Les fleurs absentes délivrent
Un glacial parfum qui m'enivre.
Aucun mouvement n'est perceptible.
Aucune forme n'est tangible. -

Cette nuit, ma passion a été plus forte que ma raison...

- A ceux qui croient qu'Amour nuit à la Raison,
Je dis que la mienne encourage ma Passion.
Pour que riment ces mots il y a une raison.
La rime est pauvre, mais... s'enrichit d'affection. -

Mais la raison a-t-elle sa place dans un endroit semblable à celui-ci ?
Nous nous promenions, Elle et moi, et fou d’amour, je lui ai fait ... ma déclaration...




Déclaration

Plonge en mon regard
Et vois
L’Amour à l'égard
De toi

Noie-toi dans mes yeux
Et vois
Un cœur désireux
De toi

Et si tu m'aimais
Suis-moi
Reste donc auprès
De moi

***

15 décembre

Quelles douleurs ! Quels chagrins ! Rien ne saurait me faire oublier mon malheur.
Je n’y suis plus allé. Non.
Sans doute l’ai-je effrayée. D’avoir voulu trop tôt l’Amour, me voici condamné à mourir dans ce monde fade.
Ah ! Que n’ai-je pas attendu encore avant d’avouer à Elle mon amour ! Que n’ai-je pas écouté ma raison !
Ma douce Elle, pardonnez-moi ! Ne me laissez pas avec nos souvenirs ; ils seraient trop lourds à porter. Seul celui de notre dernier tête-à-tête, de notre unique baiser, sous la neige, m’apaise...


Nuit d’hiver

La lune d'or, posée sur écrin bleu,
Par l'épaisseur des pinèdes cachée,
Tel un bijou dans son coffret
Que l'on regarde d'œil envieux.
Mon regard de la lune tomba,
Et vint se poser sur ton joli visage
Que ta peau satinée illuminait de reflets de coquillage.
Tes yeux bleus, tels deux saphirs, brillaient des rayons lunaires.
...Étrange jeu d'irréelle lumière...
Tes cheveux, châtains et soyeux, étaient bercés par la douce bise ;
Et tes lèvres, inlassablement, répétaient ta si belle devise :
"Je t'aime, Je t'aime"
Et c'était pour moi, comme un second baptême
Que d'accueillir sur mon front
Cette neige nouvelle, ces si légers flocons.
Et c'était pour moi, comme un premier mariage :
Lune d'or et son coffret,
Pour alliance ;
Ce si tendre baiser,
En signe de confiance.

***

16 décembre

Quels soulagements ! Quelles joies ! Quel Bonheur !
C’est avec grand plaisir que je me suis retrouvé là-bas. Avec un plaisir d’autant plus grand que j’ai constaté que l’été est revenu.
Elle est venue me voir et pour me saluer, a posé sur mes lèvres le plus doux des baisers. Nous avons marché longtemps, main dans la main. Elle m’a fait visiter son beau pays. Que d’étranges paysages et de sublimes lieux !

- Loin, par delà le lac-miroir,
L'on pouvait voir une forêt
Qui ne paraissait qu'ombre et noire,
Marécageuse et envoûtée.

Sur le feuillage d'émeraude
Planait un voile, une fumée,
Que la lumière jaune et chaude
Semblait ne pouvoir traverser.

Des cimes des arbres massifs,
Qu'une douce bise effleurait,
On eut pu voir un sol tardif
A s'approcher si l'on chutait.

Le sol sylvestre est parcouru
De fleurs des bois, de tendres baies,
Et parfois il est mis à nu,
Ô ! tendre couche inégalée.

Comme éclairé d'une magie,
L'intime sous-bois se revêt
D'un fluide clair et fleuri,
Témoin d'un éternel Été... -

Comme nous nous aimons... Jamais je n’eus pu trouver sur Terre une telle femme.
Je hais désormais le jour, et n’aspire jusqu’au soir qu’à m’endormir. Que ce monde est ennuyeux...
Ah ! Elle, je vous aime.

Elle

Le visage gracieux d'un ange échoué ;
Implorant de ses yeux, de ma bouche un baiser ;
Suffisante à la joie de mes jours à venir :
Ensembles, elle et moi, bercés de ses soupirs.

Jamais si belle femme, aimante, aimable et pure,
En ce monde sera, du passé au futur.

Trahir un tel amour me serait impossible :

Allez ôter la vie à un être invincible,
Insaisissable but d'une quête insensée...
Me voici aujourd'hui, mon rôle est de l'aimer
Et de l'aimer, et de l'aimer, et de l'aimer...

***

17 décembre

Tout est tellement intense là-bas ! Quels agréables moments nous avons passés ! Alanguis par la chaleur de l’été, nous sommes restés assis l’un contre l’autre sur le bord du ruisseau où a eu lieu notre première rencontre. Quel bien-être !


Chaude journée d’été

L'astre diurne jetait sur vous ses rayons
Que faisaient miroiter vos cheveux, soyeux, blonds
Mêlés à d'autres tels qu'ils paraissaient plus foncés :
Unique chevelure d'une unique longueur également nuancée.

L'astre diurne jetait sur vous ses rayons
Qui brûlaient vos deux yeux, si bleus, si profonds,
Mêlés aux miens telle l'est la Lune aux étoiles :
Unique regard d'une unique langueur sans voile.

L'astre diurne jetait sur vous ses rayons
Dont vos lèvres s'abreuvaient, si chaud, si bons,
Mêlées aux miennes telle l'est la lave au volcan :

Unique souffle d'une unique eurythmie, lent, si lent,
Liée à moi telle Clytemnestre d'Agamemnon.
L'astre diurne jetait sur vous ses rayons.

***

18 décembre

Cette situation m’exaspère de plus en plus : certes nous passons des moments délicieux, mais ma double vie me mine. Si je pouvais choisir... Mon choix est tout réfléchi. Qu’il est lassant de devoir sans cesse quitter Elle, pour la revoir, pour la quitter, pour la revoir... J’aimerais tant ne plus la quitter...


Chanson pour la femme aimée

Tes yeux sont un abîme en lequel je me noie,
Un tourbillon de joie qui submerge mes peines.
Une mer de bonheur où tu règnes en reine.
Comme j'aime y nager. Oh! mais combien de fois!

Sur les vagues de ta chevelure mes doigts
Naviguent au gré des vents et de tes soupirs.
J'aime comme des fois, contre moi tu respires,
Inondant mon esprit de bonheur et de joie.

Mais quand tu prends le large et qu'à l'horizon tu
Disparais en laissant dans la mer une voie,
Moi, loin de l'amour, loin de tout, loin de toi,
Triste, je pense à toi et je ne chante plus.

Quand tu rentres au port et qu'à l'horizon tu
Apparais en voguant sur la mer, sur ta voie,
Moi, avec amour, avec bonheur, près de toi,
Joyeux, je te fais signe, et je ne me tais plus.

***

19 décembre

Elle ne veut rien me dire. Quand je l’interroge sur notre situation, lorsque je lui demande s’il existe un moyen de rester avec elle, Elle prend un air triste, détourne le regard et se contente de me dire qu’elle demeurera éternellement mon Amoureuse.

Mon Amoureuse

Ainsi que la boussole de l'explorateur
Pareille à la Polaire du navigateur
Tu es donc mon puits au milieu du désert
Tel les Touaregs sans Toi je ne sais rien faire

Tu es une Lumière qui guide ma vue
Ta Voix une Musique qu'aiment mes oreilles
Tes Baisers ont le goût de ce fruit défendu
Ton Parfum dans le monde n'a pas son pareil
Je souffrirais du fait que je ne puisse plus
Te toucher

Chaque sens est un doigt, qui forment une main
Se refermant sur Toi Ton Amour diamant fin
Tendrement je Te serre et garde contre moi
Tendrement je Te sers et garde contre moi
L'Amour que Tu m'offrais et que Tu m'offriras

***

20 décembre

Elle m’a demandé de lui dire sincèrement quels étaient les sentiments que je concevais à son égard. Quel charmant caprice... J’ai donc renouvelé ma déclaration.

- Mais ton plus beau trésor, sous les autres enfoui,
C'est ton âme, ton cœur, ton esprit, Toi, enfin,
C'est un cœur pur et doux, d'une taille sans fin,
de mon plus tendre amour. Et je te le remplis

Tes joyaux, tes diamants, tes trésors innombrables,
Tes nombreuses richesses, tes métaux brillants,
J'ai su les acquérir par la force du temps,
Et je t'offre en échange un amour immuable. -

Elle m’a alors semblé soulagée, m’a pris dans ses bras, et m’a dit que demain, le Pays des Rêves deviendrait mon unique demeure.
Je n’ose pas y croire, mais au fond de moi, j’espère follement que cela se produira.

Si c’est le cas, je ne pourrais plus poursuivre ce journal, que j’ai commencé voilà dix jours, uniquement pour relater ce que je pensais être un rêve...
Qui sait ce que ce récit deviendra...

Pays des Rêves
2) Mag Meld


Je ressens dans les prés d'antan
Une langueur inégalée
Une foule de plaisirs tentants
Et je me suis laissé tenter
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Desperad
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MessageSujet: Re: Mil et Un Rêves   Mil et Un Rêves EmptyVen 19 Nov à 18:15

C'est magique ! sunny

Merci...

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Candleinthestorm

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MessageSujet: Re: Mil et Un Rêves   Mil et Un Rêves EmptyVen 19 Nov à 20:55

Eh béh alors c'est pari tenu! Je voulais faire quelque chose de magique...

Tant mieux!!! Mil et Un Rêves Grayyes_
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MessageSujet: Re: Mil et Un Rêves   Mil et Un Rêves EmptySam 20 Nov à 3:41

Bon... Si vous êtes sages... Peut-être que je pousserai le vice jusqu'à poster ici "La Guerre" Mil et Un Rêves Rambo_gi , mon second recueil... Mais je vous prévient tout de suite, il est beaucoup moins "magique"! Il est plutôt... Comment dire... Comme ça : Mil et Un Rêves Pastaper .

En tout cas faudra être sage pour ça...

En attendant, Mil et Un Rêves Jesors_g ...






Mil et Un Rêves Dehors_g
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haemo
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MessageSujet: Re: Mil et Un Rêves   Mil et Un Rêves EmptySam 8 Jan à 15:47

très sincèrement je trouve ça magnifique, je reste sans voix et je crois que ça se passe de commentaires... je crois qu'en faire viendrait tout gâcher! et je suis complètement d'accord c'est magique! il n'y a rien à ajouter!
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Candleinthestorm

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MessageSujet: Re: Mil et Un Rêves   Mil et Un Rêves EmptySam 8 Jan à 16:05

Merci beaucoup!

Ca me fait énormément plaisir car je suis très attaché à ce recueil... Beaucoup plus qu'à La Guerre, qui est, je trouve, mille fois moins bien réussi...

Je n'ai pas su rendre La Guerre aussi tragique que Mil et Un Rêves est magique...
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MessageSujet: Re: Mil et Un Rêves   Mil et Un Rêves EmptySam 8 Jan à 20:33

Pour être honnête, je n'ai pas encore pris le temps de lire ton recueil La guerre Mil et Un Rêves Jesors_g mais j ai cru entrapercevoir que c'était assez long et je préfère le lire d'un trait et au calme...mais chose promise sera chose faite et je te donnerai mon avis bien évidemment
en tous les cas je maintiens que celui ci tient du mythe...
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