Salutaion,
Voici quelques mots que je laisse en tant que poème, mais ceci n’a pas été écris comme tel.
Au Coeur le vent s'éteint,
J’affiche mes mots sans réel tempo
Mais ce n’est qu’une simple démo
Ecartons nous de tous ces propos
D’une irrésistible envie de te dire ce qui me passe par l’esprit
Au-delà de toute ânerie le vent me pousse vers ce qui me retient
D’une lassitude au grand bien
Des énigmes latentes, d’une ridicule attente
Pour me revoir courir et entendre votre rire
Sur ces champs de coquelicots pour vous contempler de son haut
Sur ce toit de verdure sur ce toit très dur
Viens vers moi de ce que tu caches de ton dos,
Au bonheur tu me blesses de cette énigme
Triste, grise,
Ton regard me brise
Ce vent porte
Porte tes larmes de ne plus vouloir « Devoir me revoir ! »
Ton regard pleur l’amertume à mes amours perdues
N’en deviens pas une de plus,
Disparue
Belle créature !
Silence,
Devient si lent que le souvenir nous rattrape
Nous revoir
Nous,
« Ô déboire »
Digérer cette amertume
Nous quitter, nous brûler
Nous pleurer, nous illusionner
Nous inventer, nous sillonner
Parcourir le monde d’une subtile imagination
Le vélo roulant, troublant, sautant, perdant, tombant
Au synonymes nos sensations
A l’oublie cette migration
Perdu pour perdu
Autant te dire ce qui me passe par l’esprit
J’affiche mes mots sans réel tempo
Mais ce n’est qu’une simple démo
Ecartons nous de tous ces propos
Artemis Vi De Jalon
(---09-2004)