Je sais pas ca doit etre l'inspiration a deux balles des futures vacances, mais la j'ai envie d'ecrire^^
Mon adolescence a été bercée par les eclats de ses rires, la clarté de ses cris, et par ses sanglots. Pendant ces quatres dernieres années, IL était ma vie et mon ami, IL m'était indispensable. Lui.
Cette derniere année se déroula comme les autres, dans la tranquilité d'une amitié et d'une sympathie plus que sincère. Elle se deroula dans la joie pour lui comme pour moi. Il y avait Il et il y avait Je. Nous formions ce Nous que le monde Nous enviait, car Nous étions tout l'un pour l'autre.
Et puis le moment fatidique d'une separation douloureuse arriva. Cela commenca par un leger haussement de sa voix, et finit par une longue plainte qui me dechira. C'est dans les pires moments que l'on s'apreçoit a quel point l'amitié est quelque chose de superficiel qui ne tient qu'a la convergence des opinions. Alors que Lui considerait que le monde tournait encore, Moi pensais que jamais plus il n'effectuerais sa rotation comme avant. Notre desaccord se changea en une dispute monstre qui eclata au beau milieu d'une après midi ensoleillée, provoquant chez lui un sourrire sadique et me tordant le coeur.
Cette simple phrase et cette expression sur son visage demontrait toute l'étendue du degout qu'il n'avait jamais cessé de ressentir pour moi, elles demontraient que notre amitié n'était qu'en fait le fruit d'une hypocrisie agravée bien menée.
Le temps s'arrete pour moi
La vie s'arrete pour moi.
Mon monde s'ecroule...
Autour de lui.
Whaaah je me sens inspirée et en conflit avec notre saint mere orthographe... --
Pardon?