extrait

voial un début de nouvelle inachevée c une facon de me présenter, c est trés brouillon j ecris en général d une traite et je n aime pas me retoucher j écris souvent sous l effet de canabis et tout me vient a la suite. vous l écrire sera un moyen de voir si ce n est pas qu un trip solitaire.


Je me souviens, un jour dans la rue, le ciel était assis sur un banc avec ses potes. Il m'a regardé avec ses yeux oranges, et avec intérêt, et a dit "toi petit tu plaît à l'orticulture".
Je l'avais elle-même aperçue deux heures auparavant. Mais comme une horde de soldats prussiens déboulait en trainant des chars panzer (les chars étaient télécommandés par des SS) l'évolution fut perturbée et je ne pus y repenser."Sky", il m'a dit appelle moi "Sky", endimanché dans son costume de Mc gangster américain(un baggy décoloré, un T-Shirt de team de basket connu et une casquette NY)m'indique de la rejoindre dans une rue vaste et immense pour que nous y soyons plus tranquiles.Je le suivis et au bout de deux heures de marche silencieuse nous arrivions dans cette rue calmement silencieuse (c en etait presque douteux).A cet instant précis où l'aiguille de l'église se decala pour indiquer 22h, il partit sans toutefois dire mot. Enchanté je dégustais son départ sans jamais le quitter du regard, puis un éclair tomba du ciel, une nuée de colibris me heurta en tout point. J'envoyai mon bras plus loin pour le protèger, le laisser libre de ses choix mais il restait toujours serré contre mon épaule. Une lame libérale tomba du ciel pour les séparer , les laissant en regret, puis l'orage passé je les réconcilai. Suivirent deux longues heures de méditation allègée à boire 3 cannettes de 50 centilittres de bières à 60 centimes et voila que l'orticulture arriva. J'étais un peu nerveux car je pensais j'étais même persuadé, comme les gens que je connaissais et que mon voisin connaissait, que l'orthiculture etait une invention du démon teinte de rouge comme les paquerettes rebelles! eh bien non, pas du tout! Et meme si des traces de colorations se battaient sur les pointes de ses cheveux comme les maures en terre de vandale elle semblait avoir passé l'âge. On m'avait aussi prévenu, dans mon inconscient, qu'un jardinier la suivait tout le temps; mais cette fois ci il était loin à jouer avec ses palmes. Nous étions donc tous les trois au milieu de cette avenue vaste et immense elle meme au milieu d'une plaine 10000 fois plus vaste et immense et plate et sans intéret. Quand l'orticulture fut a 3 mètres de moi, alors que je me préparais a l'embrasser pour assurer, elle recula de deux mètre et fit mine de recommencer sa manoeuvre. Pour prendre le devant je m'avancais mais il lui était apparemment impossible d'être a moins de trois mètre de moi sans quoi son corps la forcait a reculer ce qui était trés gênant.Apostrophé, j'écarquillai les yeux et les ajustai au contraste. Dés lors j'aperçu un chewing gum à la place de l'orticulture. Que dire?
Etant friand des chewing gum je la pris puis la callai sous ma langue pour la conserver intacte (a ce moment la elle m apparaissait comme un cadeau de noel et j'aimais la sentir me titiller les papilles)
Je restais la immobile songeant a la vie et a ses meandres ou plutot a la vision que j'en avais. Tronant dans la tempete je fixais le maraîcher plonger sur chaque dalle, se cogner contre le sol puis recommencer. J'ai décidé de m'asseoir je l'ai fait puis j'ai dégusté une autre bière, mais le Jardinier avait arreté de plonger je crois qu'il bronzait.
De nouveau un colibri -et mon style qui s'étire a chaque uppercut-il me dit que si je ne rend pas l'orticulture intacte je serais puni par des personnes assez obscurs. Même avec du recul je ne crois pas qu'il y ait eu d'autre choix que de, aprés l'avoir goulument machouillé, jeter le chewing gum sur le colibiri qui, en quelques secondes, fut entouré par le caoutchouc alimentaire. En me retournant je fis face à un défilé, celui en commémoration immédiate de la mort du colibri, gravé a jamais dans nos têtes.
Des centaines de sexagénaires, à l'horizon, tous déguisés en colibris , piaillaient la mort de leur confrère. Dans ma position d'assassin je me devais de rejoindre le cortège. Mais mon habit ne le permettait pas et je fus donc rué de coups. Quand le plaisir leur fut passé de me tapper et que j'eus repris mes esprits. Un des vieux, certainement le plus jeune, qui se tenait sur un char fait de corps humains contorsionnés sous l'effets de drogues trés puissantes, m'attira l'attention. Une femme surdimensionnée assise sur une plus petite lui servait de fauteuil. Souvent balloté, L'Illustre Commandant, devait contracter chacun de ses muscles pour bénéficier des avantages honorifiques et financiers que lui conférait son trône.Comme il faisait une tête à faire frémir une grand-mère dans un abri-bus il lui fut servit, par une jeune fille nue, une eau aux bienfaits incomparables car il se réveilla tout à coup se mettant à sautiller sur les corps enlacés qui, criant par alternance sous le poids de leur maître, créaient une symphonie funeste. De saut en saut il se rapprocha du défunt oiseau que la foule prenait garde de ne pas piétiner, tout le monde s'était arrêté et seul l'eccho des cris résonnait encore dans l'air.Il pris le colibri dans ses mains, au milieu des milliers de regards muets braqués sur lui. Il leva ensuite le petit-être entouré de chewing gum vers le ciel en signe de sanctification, je sentais que son coeur battait encore, et à une telle allure ! Puis il commença à le baptiser selon "la façon post mortem qui consistait à éviscerrer le corps impie pour le vider du mal qui s'était engouffré en lui"(c'est ce que disait la publicité à ce sujet).Il essuya enfin ses mains,aprés avoir enflammé la foule par l'explosion finale, sur la tête du jeune homme qui lui servait de sol.Parmis les sexagénaires drogués en habits de colibri, les plus cool sortirent des percussions énormes et ils commencèrent à tapper avec une lenteur toute adaptée aux gestes des foules désorganisées. Ils se battaient tous entre clans. Je décidais de me glisser dans la masse en mouvement ;Tout éxaltés qu'ils étaient ils ne me remarquèrent point avec mes habits de villes. Mais les coups volaient de partout, une vieille dame est tombée devant moi sous le crochet du droit de mon médecin (un homme respectable de 65 ans) en se relevant elle m'a envoyé un coup de genoux sans meme avoir remises ses lunettes. Je n'eus d'autre réaction, sous le flot de coup qu'on m'assennait de toute part, que de pleurer tragiquement pour ce pauvre colibri sans sépulture. Je me repris et, de toutes mes forces, avec une ferveur vengeresse, commençai à me creuser un chemin vers le commandant frappant et vociférant:"laissez ce pauvre colibri en paix il mérite mieux que ça pour son anniversaire" et les personnes que je tappais finirent par m'écouter et me rejoindre dans mon ascension vers le démon.

et quelques autres divagations que je ne suis pas en mesure de vous livrer pour le moment mais si vous voulez du rab ca peut s arranger ^^

Alors désolé mais je vais être sincère, je trouve certaines phrases mal construites et maladroites.

C'est confu par moment, certaines tournures de phrases sont mal choisies et j'ai du m'accrocher pour arriver à suivre à peu près.

C'est rigolo, ça fait un peu délire surréaliste, rêve mis en forme, écriture automatique, cadavre exquis pour les longues soirées d'hiver... Mais faut pas fumer du cannabis, faut fumer des échalotes à la béchamel, c'est beaucoup plus sain.

Yep...

Essaie de recommencer ça, en oubliant ton cannabis (pô bien!). Je suis certain que le résultat n'en sera que mieux!

Je garantie qu'il y a bien plus d'imagination dans un cerveau humain que dans les drogues. Alors laissons la drogue aux dealers, et battons nous avec NOS idées.

le sujet n'etait pas vraiment sur la drogue
assez de policier m'ont déja tenu des discours réastionnaire
je ne vois pas le canabis comme une emprise mais comme un pont
disons simplement que celle ci me permet mieu de m imaginer mon univers
j'aimerais développer une écriture surréaliste sans tomber dans l'écriture automatique
les questions sont: le déroulement de l'histoire reste t il dans une logiqe illogique proche du rêve?
-mélange ironie naiveté (proche de voltaire)?