Ta´am

Juste une petite remarque sur ton dévouement à tes fidèles lecteurs, l'enchaînement à ton ordi est une super idée, mais bon, ne te presse pas pour nous..sinon tu risquerais de perdre de la qualité..
eh! oh! faut motiver les troupes!!!!! un petit massage?? en toute amitié bien sûr..

Je sais bien que je vais être chiante mais...

Alors elle va partir? Elle va rester ? il va rester avec elle ? Il va se noyer? Et Dorcha va t elle être prise dans un réseua de traite des blanches??? (je me suis trompée de bouquin là non???) en fin bref je veux savoir je veux lire mais je veux pas que tu te dépêches pour moi...

Bah oui koi je vais pas te harceler jusque sur MSN ce serait pas mon genre quand même...

C'est trop couuuurrrtttt !! Aaaaaaaaaammm' !!!!
Mais j'adore quand même, que veux-tu que je dise ?! Qu'effectivement, tu es une Déesse ?! Que tu es la meilleure ?! Que je t'adore même si je ne te connais que par le biais des ordinateurs ?! Eh bien, oui, c'est exactement ça !
Tu écris très bien, j'aime beaucoup, et je ne vais pas te harceler pour avoir la suite. Prend ton temps pour nous garder ce récit toujours aussi grandiose.
Et même si la suite se fera attendre, je l'attendrai impatiemment.

Antigone a écrit:

Je ne te connaissais pas encore... Ta mégalomanie te joue encore des tours!

nan j'ai vérifié et tu m'as bien déjà sorti des petits bouts.... qui l'eût cru, c'était des petits bouts de la plus grande oeuvre litteraire du siecle et j'y ai à peine fait attention

Allez, on va conclure la partie Gabriel... Comme ça ce sera fait...


- Je m’en veux un peu…
- Pourquoi ? s’étonna Gabriel. Tu vas simplement faire un peu de tourisme, et tu pourras revenir ici si tu le désires.
- Du tourisme ?
- Voyager, découvrir ce qu’il y a ailleurs, expliqua-t-il.
- Mais j’ai toujours vécu ici… Je suis un peu ingrate de ne pas en être satisfaite, non ?
- C’est parce que tu as une âme d’aventurière ! s’exclama gaiement Gabriel. Sécate, la nouvelle pionnière sans peur et sans reproche !
- Est-ce qu’Atyda me suivra ? s’interrogea-t-elle, les yeux dans le vague. Elle a toujours adoré vivre ici…
- Tu n’as pas besoin d’elle, de toute façon, non ? Tu es une grande fille maintenant, libre et indépendante !
- Je n’irai nulle part sans elle, affirma calmement Sécate. C’est mon Unique.
Gabriel leva les yeux au ciel, mais s’abstint d’insister.
- Va pour un peu de compagnie, alors. On embarque Atyda, et on décolle. C’est la blonde avec les longs cheveux ?
Elle hocha la tête.
- On fera avec, soupira-t-il. Disons qu’elle a été noyée dans la masse, jusqu’à présent, je n’ai pas eu le temps de faire sa connaissance. Tout ce que je sais c’est qu’elle me prend pour un crétin.
- Elle est formidable, tu verras ! dit Sécate avec un sourire radieux. Et puis, de toute façon, toi non plus tu n’as pas l’air d’avoir une très haute estime d’elle… Vous apprendrez à mieux vous connaître ! C’est l’occasion rêvée !
- Si tu le dis… marmonna Gabriel. Alors, on part quand ?
- Je crois… qu’on va quand même attendre le conseil des fées. Si elles trouvent une solution, tu rentreras chez toi très vite. Et alors… peut-être que je n’aurai pas le courage de partir toute seule, et d’entraîner Atyda dans cette histoire.
- Oui, je comprends, dit Gabriel tout en s’enorgueillissant de l’impression virile qu’il avait visiblement faite à Sécate. Mieux vaut avoir un homme à ses côtés, pour un voyage de ce genre.
Sécate le regarda, visiblement déconcertée.
- Oh, non, ce n’est pas du tout ce que je voulais dire. C’est juste qu’un voyage sans but n’a aucune raison d’être. Et là, on ira te reconduire chez toi, et voir ta région ! Il faut bien partir pour quelque chose, sinon je ne voudrais plus partir du tout.
- Ah ! fit Gabriel, cachant mal sa déception.
- Mais ne crains rien, on veillera bien sur toi, elle et moi.
- Ah ! répéta-t-il.
- Ce ne sera sans doute pas facile, poursuivit-elle, imperturbable. D’après ce que les conteurs nous ont dit, il y a des contrées très dangereuses sur le continent. Rien que dans les marais des Brumes, et ce n’est pas si loin qu’ici, il paraît qu’il y a des tas de bêtes effrayantes ! On nous a parlé de lutins… Mais ça ne peut bien être bien méchant, pourtant, un lutin, tu ne crois pas ?
- Un lutin… soupira Gabriel.
- Oh, et je ne te parle même pas des trolls et des kobolds ! Eux, ce sont de véritables plaies !
- Oui, oui, les gremlins aussi…
- Les gremlins ? s’étonna Sécate.
- Oui, tu ne connais pas ? Ils vivent dans les appareils électriques. Au départ ce sont des Mogwaï, mais si on leur donne à manger après minuit, ils se transforment en gremlins et sèment la pagaille dans toute la ville, spécialement à Noël, lança-t-il ironiquement.
- Jamais entendu parler, admis Sécate, tout en tâchant de se convaincre de ne pas demander ce que signifiaient « électrique » et « Noël ».
- Et je pourrais aussi te parler des aliens, mais ça c’est beaucoup trop compliqué à expliquer à ceux qui n’ont jamais voyagé dans l’espace à bord du Nostromo.
- Du Nostr… commença Sécate, abasourdie.
- Sans oublier, coupa-t-il, les Frankenstein. Au début il n’y en avait qu’un, mais il faut se méfier de ces bêtes-là, c’est méchant comme une teigne et ça se reproduit par génération spontanée à la vitesse de l’éclair.
Il se tut soudain, savourant victorieusement le silence qui s’installa entre eux. Si elle comptait l’assommer à coups de créatures imaginaires, il avait de la ressource, lui aussi !
- Je crois… commença doucement Sécate, que ces animaux-là sont spécifiques à ta région. Même les conteurs n’en ont jamais parlé.
Gabriel haussa dédaigneusement les épaules.
- Mais tu sais, je crois que tu serais un très bon conteur, poursuivit-elle avec une nuance d’envie dans la voix.
- Ca me fait une belle jambe, grogna-t-il.
- Ca doit être bien d’être un conteur… Tout le monde t’accueille gentiment, les gens se battent pour partager leur repas avec toi…
- Ah bon ?
- Oh oui ! C’est un grand honneur d’avoir un conteur à sa table. Bon, ici ce n’est pas exactement pareil, bien sûr. Ils sont toujours un peu étonnés, parce qu’on mange quand on veut, et qu’on dort au pied des arbres. Ils ont dit qu’on n’avait pas « d’horaires », dit-elle en plissant le front. Mais dans les autres endroits, ça se passe comme ça. Comme s’ils étaient des rois.
- Mais… ils ne font que raconter des histoires, pas vrai ?
- Ils inventent des histoires, dit Sécate avec une nuance d’adoration dans la voix. Ce n’est pas donné à tout le monde. Et étant donné que la vie est assez… ennuyeuse, leur arrivée est toujours une fête. Ca change agréablement du quotidien. Ils sont imprévisibles, on ne sait jamais quand ils vont arriver ! dit-elle, comme s’il s’agissait du comble de l’élégance.
- Ca me paraît plutôt chouette, comme boulot. Tout le monde te vénère, simplement parce que tu racontes des histoires… Ca me plaît ! Comment est-ce qu’on devient conteur ? demanda Gabriel, intéressé.
- Alors là, je ne sais pas du tout. Je ne m’étais jamais posé la question.
- On tâchera de se renseigner. Rien qu’en parlant de là d’où je viens, j’ai pas mal de récits en stock, réalisa-t-il.
- Formidable ! Atyda va adorer ! Voyager avec un conteur, quelle chance ! s’enthousiasma Sécate.
Gabriel sourit distraitement. Il voyagerait donc en compagnie de deux fées, en se faisant passer pour un conteur, dans une région dont il ne savait rien. Un vrai cauchemar… L’idée qu’il soit devenu complètement fou lui traversa à nouveau l’esprit, et il s’imagina dans une cellule capitonnée, vêtu d’une camisole de force, un entonnoir perché sur la tête, en train de se baver dessus tout en tenant des propos incohérents à des fées imaginaires. « Aucun espoir », disait le médecin aux lunettes cerclées en secouant la tête, après avoir contemplé brièvement par l’œil-de-bœuf le spectacle désolant qui s’offrait à lui. En soupirant, il se dirigeait ensuite vers la famille éplorée, tandis que l’infirmière préparait une nouvelle injection de calmants.
Il envisagea un instant l’option de se prendre la tête dans les mains en répétant à l’infini « tout ça n’est pas réel… tout ça n’est pas réel… tout ça n’est pas réel » tandis qu’il s’étourdirait dans un balancement hypnotique, mais renonça rapidement. Parce que si ça l’était… Il haussa nerveusement les épaules. Au moins, il allait partir, et cesser de se cacher dans cette forêt bizarre, sur cette île bizarre. Avec ces créatures bizarres… Il aurait l’impression de faire quelque chose. Gabriel avait toujours détesté subir les évènements. Les choses qui échappaient à son contrôle lui donnaient une impression de désarroi insupportable. Comme s’il était incapable de décider de sa propre vie, comme si quelqu’un d’autre le manipulait comme une marionnette, agitant à sa guise les fils auxquels il était attaché pour le faire bondir dans tous les sens sans aucune logique.
- Il est censé avoir lieu quand, ce conseil des fées ?
- Sans doute à la pleine lune… C’est dans deux jours, répondit distraitement Sécate qui avait recommencé à contempler les nuages, un sourire lumineux sur le visage.

et elle s'autocongratule "raconter des histoires n'est pas donné à tout le monde" sous entendu moi j'suis douée je sais faire

bon sinon c'est toujours aussi génialissime

Je m´auto-cite, je m´auto-congratule. je m´aime et je me le dis! Et y´a pas de honte à ça!

C'est toujours aussi génial!!!!

Moi je veux savoirce qui va se passer j'ai pas l'habitude d'attendre aussi longtemps pour savoir ce qui va se passer... En plus je suis pas patiente...

J'adore ta façon de faire parler et penser Gabriel... J'adore le passage sur les Gremlins et la tete entre ses mains... ça me fait penser... heu.. bah ... à toi!!!!

Merci mais j'en veux encore s'te plait!!! Pitié (ça marcherait???)

Alors de deux choses l´une...

SOIT je vous mets effectivement la suite et à ce moment-là j´aurai intérêt à m´atteler à mon ordi parce que le stock sera vide... Ce qui signifie que vous devrez probablement attendre le week-end pour une autre partie.

SOIT vous préférez vous garder la suite en question pour demain ou vendredi, histoire d´economiser un peu...

Alors???

Mais heu c'est pas humain comme choix c'est comme le fils d'Isaac (ou Abraham ...) "Qui est sa mère? demanda-t-il aux deux femmes, ou qu'on le coupe en deux... " Et la mère laissa l'enfant c'est là qu'elle fut reconnue...

Tu peux pas me demander un truc pareil m'en vais me couper un bras tiens pour la peine...

Plume a écrit:

Mais heu c'est pas humain comme choix c'est comme le fils d'Isaac (ou Abraham ...) "Qui est sa mère? demanda-t-il aux deux femmes, ou qu'on le coupe en deux... " Et la mère laissa l'enfant c'est là qu'elle fut reconnue... :

mon dieu yen a qui feraient mieux d'aller reviser c'est le jugement de salomon ça!!!!! nan mais je reve!!

moi je dis queje prefere attendre demain pour avoir la suite alors

Tiens Antigone tu vois que je t'avais qu'elle viendrait et qu'elle se foutrait de ma gueule...

Ah bah ça va je dors pas beaucoup en ce moment je peux avoir des absences de temps en temps...

Plume a écrit:

Tiens Antigone tu vois que je t'avais qu'elle viendrait et qu'elle se foutrait de ma gueule...

pourquoi t'as pensé ça? tu sais bien que je t'adore et je me fous pas de oi je t'instruis

Bah tiens c'est nouveau tu m'instruis???

Arf c'est que _a me réussit pas de passer des nuits blanches à me prendre la tête sur mon PC c'est tout!!!!

d'ailleurs je suis un peu off là mais je suis expldr, sur le ** tai tai a essayé de soutirer à basiled leurs codes sources pour faire le systeme des gallions heu je m'egare là


bon plume je t'instruirai une autre fois

Mouais c'est ça on en reparlera Tiph et pour pas pourir le Roman de Antigone et bah c'est quand tu la mets la suite????

il parait qu'elle bosse figure-toi

Bah oui elle doit faire la suite de son roman puisqu'elle nous a gentilment fait lire tout ce qu'elle a en stock ou presque...

c'est dur de devoir attendre et compliqué de ne pas pouvoir tout lire d'un trait comme on le souhaite, en plus sans m'en appercevoir j'avais sauté une page, resultat je suis impatiente qu'il soit entier pour tout relire !!!!!

La suite pour aujourd´hui? La suite pour demain?

Vu que j´avance pas mal je peux vous garantir la suite de la suite pour ce week-end sans faute... Peut-être même demain soir mais je ne vous promets rien. Maintenant à vous de voir...

la suite aujourd'hui et la suite de la suite demain ou apres demain steuplait


pitié devrai-je dire

La vaste salle à manger résonnait comme une cathédrale abandonnée. Vaguement mal à l´aise, Dorcha pianotait nerveusement sur la table, impatiente d´en finir avec cet interminable repas. Les plats étaient plus délicieux les uns que les autres, et le service irréprochable, mais… Dorcha soupira, et observa la pièce une fois de plus. Les murs étaient tendus de draperies écarlates, et les meubles d´acajou semblaient flamboyer malgré la lueur ténue dispensée par les chandeliers. Respectueusement dans l´ombre, Abalam observait le déroulement du service d´un regard perçant auquel rien n´échappait.
La servant aux yeux verts qui apporta le dessert semblait au comble de la nervosité. Ses mains faisaient trembler malgré elle le plateau d´argent sur lequel trônait une part de gâteau aux fruits. Abalam eut un sifflement de dédain qui lui fit monter les larmes aux yeux. Une fois l´assiette posée devant Dorcha, elle quitta la pièce plus précipitamment qu´elle ne l´aurait dû. Dorcha commença à manger sans enthousiasme, tout en observant l´intendant qui se glissait telle une ombre vers la porte que venait de refermer la jeune fille.
Au bout de quelques minutes d´un silence pesant, Dorcha repoussa son assiette et s´appuya avec soulagement contre le dossier de sa chaise. Elle se massa doucement la nuque et soupira. Aussitôt une suivante apparut, le regard obstinément baissé vers le sol.

- La jeune demoiselle a terminé ? demanda-t-elle timidement.
- Oui, merci. Est-ce que tu sais où je vais dormir ce soir ?
- Je vais immédiatement chercher la responsable, s´empressa-t-elle de répondre avant d´emporter l´assiette.

Dorcha leva les yeux au ciel. « Formidable ! » pensa-t-elle. « Il y a même des gens chargés de m´orienter dans ce palais . Je me demande qui va me border et me chanter une berceuse… » Elle soupira bruyamment, avant de se lever et de s´approcher de la porte qui conduisait vers le couloir.
Hésitante, elle parcourut une nouvelle fois la pièce des yeux, la main délicatement posée sur la poignée de cuivre. « Je ne devrais pas… pensa-t-elle. Ma guide touristique privée va en entendre des vertes et des pas mûres si je ne l´attends pas. J´entends déjà Abalam d´ici : Cette servante sera châtiée pour son retard, jeune demoiselle ! » Cependant sa main se fit plus ferme sur la poignée. « Et puis je ne sais pas du tout où aller. Je n´ai vu que le rez-de-chaussée jusqu´à présent, et encore… pas toutes les pièces. Cette maison est immense. Je risque de me perdre, ou de mettre les pieds là où il ne faut pas. Est-ce qu´Abalam me châtierait, moi aussi ? Il me semble avoir entendu claquer un fouet, tout à l´heure… » Elle appuya brusquement sur la poignée, et se retrouva dans le couloir étroit.
De mauvaises chandelles diffusaient une lumière rougeâtre, qui s´épanouissait en flaques inquiétantes sur le parquet lustré. Dorcha referma silencieusement la porte, et se dirigea au hasard dans ce qui lui parut être un dédale. De temps en temps, un cul-de-sac ne débouchant sur aucune porte l´obligeait à revenir sur ses pas. « Je ne sais pas ce que buvait l´architecte qui a dessiné cette maison, songea-t-elle, mais c´était visiblement très alcoolisé… A moins qu´il n´ait fumé des herbes bizarres. » Au bout de plusieurs minutes d´errance qui lui parurent une éternité, elle arriva soudainement face à un escalier.
« Un peu plus ou un peu moins… » songea-t-elle en haussant machinalement les épaules. Les marches ne grincèrent pas sous son poids. Elle laissa glisser sa main sur la rampe cirée, tendue, l´oreille aux aguets. Tout était tellement calme… Peut-être que personne n´avait encore remarqué son absence ? « Ca m´étonnerait. Ils me surveillent comme si je détenais la sainte parole. Ils ne me laisseront pas me promener bien longtemps… »
Comme pour confirmer ses pensées, des échos de voix étouffées lui parvinrent. Après une brève seconde d´hésitation, elle pressa le pas, et déboucha sur un nouveau couloir, plus sombre que ceux qu´elle avait vu auparavant.

- Jeune demoiselle ! entendit-elle crier au loin.

« Non, tu ne m´attrapperas pas ! » pensa-t-elle, amusée, avant de poursuivre son chemin.
Des bruits de pas précipités lui parvenaient du rez-de-chaussée. « Jeune demoiselle ! » entendit-elle à nouveau. Sans réfléchir, elle se mit à courir, s´orientant au hasard dans le labyrinthe de couloirs. Les autres se rapprochaient. Elle le sentait. Pourquoi fuir ? Elle ne le savait pas elle-même. Il n´y avait aucune raison, en fait. Sinon celle de l´amusement intense qu´elle ressentait, et de la joie de s´éloigner ne fut-ce que quelques minutes de ces suivantes un peu trop présentes. Après tout, elle était théoriquement libre de tout mouvement, non ? Même si la certitude angoissante de ne plus jamais pouvoir quitter cette maison s´insinuait à présent dans son esprit, tel un serpent de glace se coulant lentement en elle. Mais en courant en ce moment même dans les couloirs sans fin, Dorcha se sentit enfin libre, plus libre qu´elle ne l´avait jamais été depuis son arrivée dans cette ville étrange, il y avait à peine quelques heures de cela. « Non, tu ne m´attrapperas pas ! » se redit-elle, joyeuse, et elle pouffa de rire comme une petite fille jouant à cache-cache.
Elle s´arrêta brusquement. Cul-de-sac. Essoufflée, elle entendit avec dépit les pas se rapprocher. En faisant demi-tour, elle risquerait de tomber nez-à-nez avec l´une des suivantes. Dorcha piétina sur place, contrariée, avant de se décider à tenter d´ouvrir les trois portes qui s´offraient à sa vue. La première fut la bonne.
Elle pénétra précipitamment dans la pièce, et ferma la porte à double-tour. « J´ai gagné !» murmura-t-elle victorieusement avant de se laisser glisser sur le sol, fatiguée par la course. Ce n´est que quelques minutes plus tard, après avoir récupéré son souffle, qu´elle pensa à relever la tête pour observer la pièce… Les yeux écarquillés, elle plaqua ses mains sur sa bouche…

hé!!! non mais t'as pas honte!! arrêtez maintenant!!!!

bon sinon que dire j'adooooore j'adooooore j'adooooore en particuliers ces phrases là :

Citation :

De mauvaises chandelles diffusaient une lumière rougeâtre, qui s´épanouissait en flaques inquiétantes sur le parquet lustré.

Citation :

« Je ne sais pas ce que buvait l´architecte qui a dessiné cette maison, songea-t-elle, mais c´était visiblement très alcoolisé… A moins qu´il n´ait fumé des herbes bizarres. »

Et voilà le boulet toujours à trapiner derrière...


Ah lalalala tu veux me tuer moi qui ne pouvait pas déjà pas attendre la suite d'une histoire où le suspens n'est pas présent au sens littéral (bon on sait que §Gabriel veut partie mais quand on est au Paradis c'est pas vital!!!) mais là c'est plus noir... Plus sombre ya du suspens genre si je lis la suite et que Hiraeth arrive dans mon dos elle va me foutre les ch'tons c'est sûr alors pitié poste mais poste encore un peu...

Je voudrais savoir si elle met ses mains sur sa bouche pour étouffer un cri ou une crise de fou rire?????

BOUHHH!!!





bon mais je pense que comme elle a les yeux ecarquillés c'est plutôt un cri..... ô grande déesse ta'amienne viens nous éclairer t'es où?