eh bien si je m'attendais à ca!!! je suis vraiment touchée, je n'ai pas la prétention de savoir écrire comme toi un jour parce que ce serait mettre la barre un peu haut lol mais je peux avoir espoir de progresser un peu!
bon dans ce cas je vais continuer à mettre régulièrement mes anciens poèmes ici, si ca peut faire plaisir a quelqu'un!
je sais que je me répète mais je m'excuse d'avance pour la forme
et puis en général mes poèmes sont relativement courts parce que je les écris en m'endormant voire au milieu de la nuit (vous avez déjà essayé d'ecrire dans le noir total et bien pour en avoir fait l'expérience plus d'une fois,
c'est pas évident!! donc vous n'écrivez pas de trop longs poèmes...)
voila voila
Identité inconnue
Le visage qui se reflète là devant moi,
Dans l'ondoiement délicat de l'eau
Image façonnée par la souffrance et les émois
J'en connnais un à un tous les défauts
Pourtant ce masque une fois découvert
Je m'aventure en terre inconnue
Mais quel esprit se cache donc derrière
Cette façade artificielle et superflue
A la recherche permanente de ma véritable identité
Je me découvre sans cesse autre de façon inopportunée
Alors dans mes incompréhensions je me suis noyée
Sans que jamais personne ne vienne me sauver
Je poursuis pourtant ma quête avec acharnement
Sans savoir quel chemin poursuivre pour en finir
Car, pour tout dire, je n'ai aucune idée réellement
De ce que me prépare secrètement mon avenir
Pourquoi me torturer pour ce combat qui perdure
Contre des pensées occultes et pernicieuses
Qui laissent en moi de douloureuses blessures
Pour m'empêcher définitivement d'être heureuse
(sans titre)
Comme deux saphirs étincelants
L'incroyable lueur de tes yeux
Chaque jour, chaque instant
Me transportent à cent lieues
De ce monde de désillusions
Ne m'offrant que déception
L'incroyable douceur des traits
Qui dessinent ton visage angélique
A bien malgré moi pris possession
De mes rêves les plus magiques
En moi alors s'ouvre une nouvelle plaie
Et me voilà victime d'une cruelle passion
Atmosphère du doute
Etendue dans la pénombre de ma chambre
Baignée par une délicieuse senteur d'ambre
Une douce mélodie s'élève, triste et mélancolique
En harmonie avec les pensées chimériques
Qui peuplent mon esprit à la dérive
Ce soir erre mon âme solitaire
A la lueur de la lune d'hiver
Versant sur moi son pâle enchantement
Dans le trouble de mes sentiments
Sommeil, ta venue sera ma délivrance
Les larmes du désespoir
Les larmes qui inondent mon visage
N'en peuvent plus de couler
Malaise, impuissance face aux outrages
Mon corps lassé tente de se soulager
Je voudrais que tout cela cesse
Que sur mon insoutenable mal être
Mes paupières peu à peu s'affaissent
Pour ne plus rien laisser paraître
Je cherche alors mon réconfort
Dans les mots de Verlaine
Ou j'écoute quelques accords
Pour soulager mes peines
Une fois de plus, je sèche mes larmes
Une fois de plus, je relève la tête
Je reprends la lutte et les armes
Prête à braver les tempêtes